Critique Azamaru volume 4
Shinobu

Dans le Japon médiéval, une femme tente de convaincre un ancien samouraï de venger son clan exterminé par une armée d'immortels aux ordres du shogun. Derrière son masque mystérieux, armé d'un sabre sacré ayant autrefois appartenu aux Dieux du Japon, ce ronin entame une longue quête impitoyable où se mêlent amour, honneur et vengeance dans un fascinant ballet mortel...
Akube et ses compagnons sont parvenus à se défaire de plusieurs généraux du clang Genji. Trois membres possédant la capacité de ressusciter les morts leur font toujours face. L'intervention inattendue d'une armée humaine du clan Genji change la donne dans le rapport de force entre Akube et les généraux. Des trahisons internes semblent se dessiner à présent...
Akube et Tomoe sont aux prises avec une horde de soldats (humains pour une fois) et sont emmenés de force au sanctuaire d'Itsukushima où les attend un personnage important...
Ce volume marque un tournant de l'histoire. On assiste successivement aux changements d'Akube, au départ de Tomoe et à des combats contre des revenants. Scénaristiquement, l'auteur ne cesse de nous étonner, n'hésitant pas à donner le mauvais rôle à son héros, montrant ainsi la faiblesse humaine et les ravages qu'un peu de pouvoirs peuvent faire à un homme. Il ne délaisse pas pour autant la lutte contre les revenants, et nous permet de mieux comprendre les hiérarchies parmi eux.
Un volume qui marque la fin de la première saison d'Azamaru, et qui pose plein d'incertitudes quand au déroulement des événements. Vivement la suite ^^
Critiques Azamaru volumes par volumes
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