Critique Ceux qui ont des ailes volume 3
Dan Bluesummers
Date de sortie : 14 juin 06
Prix : 6.25 €
Note du volume 3 :
Prix : 6.25 €
Note du volume 3 :
Afin de sauver les orphelinats et tous les « sans-noms » menacés d’être exterminés par Ross, le père de Raimon, Kotobuki pénètre sa demeure. Là , elle se retrouve nez à nez avec tout un stock d’armes prêtes à être vendues clandestinement. Elle commence alors à se faire du souci pour Ross, dont l’arrestation par l’armée peinerait Raimon.
Alors que l’héroïne s’inquiète et se demande comment faire pour tout arranger, une militaire dénommée Fia fait son entrée en scène…
Après lecture de ce troisième volet de la saga Ceux qui ont des Ailes, nous obtenons le même constat que lors de la critique du premier : la série est amusante, agréable à lire et divertissante. Cependant il lui manque un petit je ne sais quoi qui la rendrait meilleure.
Enfin, quoi qu’on en dise, son principal défaut est d’être sorti en France après l’excellentissime Fruits Basket du même auteur, Takaya Natsuki. Le résultat est le suivant : nous en attendions trop et il nous est impossible de ne pas comparer les deux œuvres. Furuba est plus drôle, plus émouvant, mieux construit, conserve l’aspect romantique sans la mièvrerie qui désavantage le titre critiqué. Bref, Ceux qui ont des Ailes est plein d’imperfections (qui font sa beauté, le plaisir de lire un manga de jeunesse d’un artiste que l’on apprécie) et semble être un « brouillon » de Fruits Basket.
Au delà de cela, nous passons un bon moment en compagnie des protagonistes – très attachants, qui contribuent au charme de la série et la rendent plus vivante –, le graphisme est mignon (bien que son aspect trop léché me laisse un peu froid), le découpage est tout à fait correct (les codes du genre sont respectés, sans réelle innovation ni prise de position artistique) et le scénario est assez intéressant pour que l’on ne décroche pas. L’histoire est – à l’image de la série –, par conséquent, plaisante mais sans aucun élément transcendant.
Alors que l’héroïne s’inquiète et se demande comment faire pour tout arranger, une militaire dénommée Fia fait son entrée en scène…
Après lecture de ce troisième volet de la saga Ceux qui ont des Ailes, nous obtenons le même constat que lors de la critique du premier : la série est amusante, agréable à lire et divertissante. Cependant il lui manque un petit je ne sais quoi qui la rendrait meilleure.
Enfin, quoi qu’on en dise, son principal défaut est d’être sorti en France après l’excellentissime Fruits Basket du même auteur, Takaya Natsuki. Le résultat est le suivant : nous en attendions trop et il nous est impossible de ne pas comparer les deux œuvres. Furuba est plus drôle, plus émouvant, mieux construit, conserve l’aspect romantique sans la mièvrerie qui désavantage le titre critiqué. Bref, Ceux qui ont des Ailes est plein d’imperfections (qui font sa beauté, le plaisir de lire un manga de jeunesse d’un artiste que l’on apprécie) et semble être un « brouillon » de Fruits Basket.
Au delà de cela, nous passons un bon moment en compagnie des protagonistes – très attachants, qui contribuent au charme de la série et la rendent plus vivante –, le graphisme est mignon (bien que son aspect trop léché me laisse un peu froid), le découpage est tout à fait correct (les codes du genre sont respectés, sans réelle innovation ni prise de position artistique) et le scénario est assez intéressant pour que l’on ne décroche pas. L’histoire est – à l’image de la série –, par conséquent, plaisante mais sans aucun élément transcendant.
Une BD qui se laisse donc lire sans déplaisir, mais avec une certaine déception due au fait que nous en attendions plus de l’auteur de Fruits Basket.
