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Critique Cinderalla volume 1

Chiara
Cinderalla #1
Date de sortie : N/C
Prix : N/C
Note du volume 1 :
Cinderalla est une belle jeune fille aux formes magnifiques, qui tient un restaurant de yakitori réputé pour sa sauce teriyaki. A la mort de son père, incapable de conserver la réputation de son restaurant, Cinderalla apprend d'une petite souris qu'à defaut de voir son père vivant, elle peut le voir mort. Il revient donc s'occuper de son restaurant, mais est tombé amoureux d'une morte, qu'il va épouser. Cinderalla devient alors l'esclave de sa belle-mère et de ses deux filles.

Scénario

Adaptation surprenante du conte de Charles Perrault, Junko Mizuno se prend au même jeu de la cruauté, lorsque les soeurs se mutilèrent le talon pour pouvoir épouser le prince. Mais le conte avait sa morale de l'époque.
Ici, nous avons donc un conte qui peut paraître cruel au premier abord : enfants sadiques, souris à l'allure maléfique, une Cinderalla vivante, prête à tout pour vivre avec son prince zombie. Mais qu’à cela ne tienne, même s'il faut perdre son oeil pour atteindre ce but, d'ailleurs, ne dit-on pas que l'amour rend aveugle ?
Pourtant, ce récit n'est absolument pas dans des tons tragiques ou dramatiques. Bien au contraire, nous sommes dans un univers totalement psychédélique où tout est possible, même dans la mort. Celle-ci n’apparaît pas alors comme un état où tout se termine dans la peine, bien au contraire, il s’agit de renaissance et donc l’occasion d’aller au bout de ses rêves, comme c’est le cas pour le prince de Cinderalla. De ce fait, il n’y a rien d’horrible à voir les morts sortir de leur tombe dans ce manga, ils vont comme tout le monde aller assister à un concert réservé aux morts bien entendu. La mort apparaît donc comme un état physique propre, qui a ses barrières non plus naturelles mais sociales.
Mais tout est réinventé chez Junko Mizuno, de même, il est peu courant de rencontrer une fée alcoolique qui finit « attraction nocturne d’une chaîne du câble !"
Ainsi, la quête du bonheur est, certes, pavée de difficultés, mais avec aucune barrière, pas même celle de la mort tout peut arriver !

Au final que pouvons-nous retirer de ce "conte" : qu'à force de persevérance, rien n'est impossible. Un très bon moment à la lecture de ce conte qui a tout de même reçu la mention "Pour public averti". Mais vous avez été prévenus !

Critiques Cinderalla volumes par volumes

 
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