Fiche
 
 
 
Critiques
 
 
 
Avis
 
 
 
Images
 
 
 
Personnages
 
 
 
Résumés
 
 
 
Dossiers
 
 
 
Cosplay
 

Critique Kuzakuro volume 3

Dan Bluesummers
Kuzakuro #3
Date de sortie : N/C
Prix : N/C
Note du volume 3 :
Sakurai Mikito, dégoûté à l’idée de devenir un ogre, se voit contraint de s’allier à Kugai : il l’aide à repérer les ogres, en espérant découvrir un moyen de retrouver son humanité perdue… Sur leur chemin, ils rencontrent Suguri, une étrange créature qui se nourrit d’ogres et dotée d’une puissance extraordinaire. Même Kugai ne semble pas faire le poids face à lui…
De plus, ils sont recherchés par des traqueurs (personnes chargées de punir les fautes des chasseurs). En effet, en choisissant de mener à bien une mission sans qu’elle lui ait été ordonnée, Kugai a commis une erreur. Sans parler de son arrangement avec un ogre en devenir…

Après deux volumes très moyens et on ne peut plus classiques, ce troisième gagne en intensité grâce à l’introduction de nouveaux personnages. Certes, l’histoire est toujours aussi archétypique et prévisible, mais on se surprend à suivre son déroulement avec un certain intérêt. Il faut dire qu’il n’y a pas de temps morts (contrairement aux premiers tomes introductifs). L’auteur fait la part belle aux affrontements toujours plus impressionnants qui s’enchaînent à un rythme effréné, entrecoupés de flash-back concernant Kugai et Gogyō.
Si le scénario est – bien qu’assez prenant – particulièrement basique, le dessin, lui, est très réussi. Le style est assez typique et reprend tous les codes du shōnen, mais avec un petit quelque chose en plus qui lui donne tout son charme : les passages où Zakuro apparaît. Là, le graphisme devient brut, moins léché et particulièrement puissant. Les jeux de noir et blanc sont vraiment réussis et donnent une réelle singularité à ces scènes, particulièrement bien encrées. Car s’il y a une chose que Natsume Yoshinori réussit, c’est son encrage et le travail sur les couleurs (entendez par là les trames, le remplissage, etc.).


A part cela, il n’y a pas grand chose à noter. Kurozakuro ressemble à beaucoup d’autres shōnen manga. Le tracé est joli mais n’atteint pas l’excellence de celui d’Obata Takeshi (Gogyō ressemble d’ailleurs beaucoup à ses personnages). La trame n’a rien de transcendant mais remplit bien son travail en introduisant combats dantesques et personnages surpuissants. Au final, Kurozakuro se laisse lire. Cependant, dans le même genre d’autres ont fait beaucoup mieux (Karakuri Circus, Dragon Ball, Bleach, One Piece, entre autre)… Kurozakuro by Natsume Yoshinori © 2004 by Natsume Yoshinori / Shogakukan Inc., Tōkyō.

Critiques Kuzakuro volumes par volumes

 
erreur serie_genre:Illegal mix of collations (latin1_swedish_ci,IMPLICIT), (utf8mb4_general_ci,COERCIBLE), (utf8mb4_general_ci,COERCIBLE) for operation 'in'