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Critique Ma Petite Maîtresse volume 1

Shinobu
Ma Petite Maîtresse #1
Date de sortie : 10 septembre 08
Prix : 6.95 €
Note du volume 1 :
Chôko est la petite protégée de la célèbre et riche famille d’entrepreneurs Kuzé. Malheureusement, son père ne parvient pas à éviter la faillite de l’entreprise et se reconvertit en un petit restaurant de nouilles. En âge de travailler, Chôko trouve alors un petit emploi dans une société d’immobilier et se retrouve aux ordres d’un homme qu’elle connaît : celui qui, quand elle était petite, était le servant de la maison…
Commence alors un jeu de domination entre ancienne relation et nouvelle hiérarchie.


Voilà un manga qui reprend le thème de la servitude en le mettant au goût du jour avec beaucoup de dérision tant l'attitude de certains protagonistes est différente en fonction du lien ainsi que de l'entourage. Certains protagonistes comme par exemple Masayuki Dômoto, le chef du service secrétariat de l'entreprise dans laquelle l'héroïne trouvera du travail, apparaît dans un premier temps comme quelqu'un de tyrannique et despotique, autoritaire et intransigeant et dans le même temps doux et serviable (à la limite de la servilité d'ailleurs quand il est question de ses anciens maîtres les Kuzé). En effet, ce dernier est le fils d'un ancien domestique de cette aristocrate famille japonaise qui, ayant connu des déboires économiques, a tout perdu. Il se retrouve donc le chef de la fille de son ancien patron ce qui est à l'origine de situations diverses parfois cocasses. Pour sa part, Chôko Kuzé, la nouvelle employée et la cause de bien des tracas pour le jeune Dômoto finit par découvrir la vérité, ce qui n'améliorera pas forcément son quotidien au travail. Sauf que maintenant il va lui falloir gérer entre les deux modes de son chef. L'histoire est donc centrée sur la relation entre deux personnages dont les liens se tissent de façon assez originale mais compliquée. Le dessin de Yuki YOSHIHARA est aisément reconnaissable (cf le manga Itadakimasu paru aux éditions Soleil et conseillé à un public mûr) et reste toujours autant axé sur les protagonistes parfois au détriment des décors... L'utilisation du SD (Super Deformed) est aussi un outil qui tient à coeur à la mangaka qui en use et en abuse pour "diminuer" encore la jeune Chôko. Voilà un manga qui se laisse lire et prête à sourire mais dont le second volume définira clairement l'orientation.

Critiques Ma Petite Maîtresse volumes par volumes

 
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