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Critique Summer Wars volume 1

Tompopo
Summer Wars #1
Date de sortie : 10 novembre 10
Prix : 7.50 ̈́ €
Note du volume 1 :

Kenji, un lycéen timide et surdoué en mathématiques, effectue un job d’été au service de la maintenance d’OZ, la plateforme communautaire d’Internet qui regroupe des millions de personnes à travers le monde. À sa grande surprise, la jolie Natsuki, la fille de ses rêves, lui propose de l’accompagner à Nagano, dans sa maison familiale, pour l’anniversaire de la matriarche du clan Jinnouchi. Mais ce qui promettait d’être une simple fête de famille va rapidement prendre une tournure bien plus belliqueuse…



Summer wars est l'adaptation papier du film éponyme, sorti en 2010 sur les grands écrans français. Difficile dès lors de ne pas établir de comparaison entre les deux si on a déjà vu le long-métrage...

 

À travers le personnage de Kenji, lycéen matheux et tout gentil, le lecteur fait un bond dans le paysage japonais : nous assistons en effet à une grande réunion de famille, dont le but est de célébrer l'anniversaire de la grand-mère bienveillante et omnipotente. En parallèle à cet univers traditionnel se dessine le décor futuriste de Oz, sorte de MMORPG surpuissant où les actions effectuées sont en prise directe avec le réel.

Le bon déroulement de la fête familiale est perturbé lorsque le monde de Oz se fait pirater. Le chaos s'installe alors dans la vie réelle, chaos auquel Kenji ne semble pas étranger...

Nous avons là un manga de bonne qualité. L'histoire est bien presentée et les chapitres se suivent de manière cohérente, sans superflu. Les dessins sont agréables, tout en restant assez classiques. Surtout, il est judicieux d'opposer deux univers aussi différents qu'un clan japonais (en tant que famille soudée et chaleureuse) et une plateforme communautaire comme Oz, version futuriste de Second life. L'ancien et le moderne.

 

Le manga est extrêmement fidèle au film, et c'est là le bémol de ce Summer wars. Le lecteur qui a déjà vu le long-métrage n'est pas surpris et s'aventure sur un terrain déjà connu. D'autant plus que le monde de Oz est forcément mieux rendu au cinéma, grâce au chatoiement des couleurs et au dédale des formes. À réserver, peut-être, à ceux qui n'ont pas vu le film. On appréciera au passage la belle édition de Kazé, et notamment sa jaquette en relief très bien pensée.

 

Critiques Summer Wars volumes par volumes

 
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