Critique Togari volume 8
Sigmar
Date de sortie : N/C
Prix : N/C
Note du volume 8 :
Prix : N/C
Note du volume 8 :
C'est la fin de Togari !
Le moins qu'on puisse dire, c'est que je ne m'attendais pas à ce que Togari devienne une série aussi intéressante. Dans ce volume, ne vous attendez pas à des combats incessants dignes des fins de shonen, mais à un scénario très soigné qui est dans le prolongement du volume 7 et qui apporte beaucoup à cette série. Togari 8 n’accélère pas véritablement le rythme, et c’est peut être mieux comme ça. Plus loin que la réflexion basique du shonen classique, Togari profite à merveille du scénario en place dans les volumes précédents (la dualité Paradis/Enfer, Togari/Tobé...). Cette série m’a surpris par sa qualité grandissante au fil des tomes. L’action, très présente nous prend avec elle. Et malgré une fin décevante car inattendue, ce volume est plutôt plaisant.
Tobé change littéralement de psychologie et on en apprend beaucoup plus sur le passé de tous les personnages (principaux ou secondaires, Amy et Emma plus particulièrement), ce qui ne nous laisse quand même pas totalement en reste à la fin... L'auteur, Yoshinori Natsume, aura quand même réussi à nous laisser quelques doutes sur l'avenir de Tobé à la fin de l'histoire, mais je voyais mal comment celui-ci aurait réussi à gérer et terminer une série si entamée en un seul volume (il a été obligé par les éditeurs, selon les rumeurs, de terminer son oeuvre rapidement). Finalement, finir comme cela la série a peut-être un mérite : sans bâcler la fin, Yoshinori Natsume nous laisse imaginer la suite.
Le dessin à l'inverse n'est pas encore très soigné, mais garde un style très particulier tout à fait acceptable. Toujours très sombre, Togari volume 8 s'améliore encore un peu plus sur les contrastes (la couverture en est un bon exemple).
C'est donc une plutôt belle aventure qui se termine avec ce volume... et on regrette peut être que la qualité de ce dernier n'ait pu se perpétuer dans d'autres Togari...
Le moins qu'on puisse dire, c'est que je ne m'attendais pas à ce que Togari devienne une série aussi intéressante. Dans ce volume, ne vous attendez pas à des combats incessants dignes des fins de shonen, mais à un scénario très soigné qui est dans le prolongement du volume 7 et qui apporte beaucoup à cette série. Togari 8 n’accélère pas véritablement le rythme, et c’est peut être mieux comme ça. Plus loin que la réflexion basique du shonen classique, Togari profite à merveille du scénario en place dans les volumes précédents (la dualité Paradis/Enfer, Togari/Tobé...). Cette série m’a surpris par sa qualité grandissante au fil des tomes. L’action, très présente nous prend avec elle. Et malgré une fin décevante car inattendue, ce volume est plutôt plaisant.
Tobé change littéralement de psychologie et on en apprend beaucoup plus sur le passé de tous les personnages (principaux ou secondaires, Amy et Emma plus particulièrement), ce qui ne nous laisse quand même pas totalement en reste à la fin... L'auteur, Yoshinori Natsume, aura quand même réussi à nous laisser quelques doutes sur l'avenir de Tobé à la fin de l'histoire, mais je voyais mal comment celui-ci aurait réussi à gérer et terminer une série si entamée en un seul volume (il a été obligé par les éditeurs, selon les rumeurs, de terminer son oeuvre rapidement). Finalement, finir comme cela la série a peut-être un mérite : sans bâcler la fin, Yoshinori Natsume nous laisse imaginer la suite.
Le dessin à l'inverse n'est pas encore très soigné, mais garde un style très particulier tout à fait acceptable. Toujours très sombre, Togari volume 8 s'améliore encore un peu plus sur les contrastes (la couverture en est un bon exemple).
C'est donc une plutôt belle aventure qui se termine avec ce volume... et on regrette peut être que la qualité de ce dernier n'ait pu se perpétuer dans d'autres Togari...
