Critique Hôshin : l'investiture des Dieux volume 15
Dan Bluesummers
Date de sortie : 19 juin 04
Prix : 6.50 €
Note du volume 15 :
Prix : 6.50 €
Note du volume 15 :
La bataille entre les Jin Ao et le mont Kunlun est à son paroxysme, Yang-Jian est dans un piteux état, et c’est maintenant le dernier assaut. Comment s’organiseront Taigong-Wang, Sibuxiang et les autres pour venir à bout du maléfique plan de Wang Tianjun.. ?
Ce volume de Hôshin est dans la parfaite lignée des autres, on ne cesse d’en apprendre plus sur les différents protagonistes et la trame principale, un scénario riche, de nombreux rebondissements, on a droit à de très nombreux combats survoltés et à de nouveaux personnages toujours aussi surprenants. Un cocktail qui semble marcher apparemment, et tant mieux !
Par contre, on peut regretter le fait que le scénario soit laissé de côté pour laisser place à de nombreux combats, et c’est très dommage puisqu’il est extrêmement riche. L’auteur après nous avoir dépeint une telle histoire ne devrait pas s’éterniser dans ces combats qui pourront en lasser certains à force. Malgré cela, ce shônen reste relativement bon d’un point de vue scénaristique, et largement au dessus du lot par rapport à certaines productions actuelles (Rave par exemple). La mise en page est travaillée, dynamique et assez claire. Un bon travail à ce niveau là donc.
Notons des dessins d’une grande qualité, pour peu que l’on apprécie le style de Ryû Fujisaki, souvent retouchés à PhotoShop. Une grande utilisation des trames pour un style vraiment à part qui ne plaira certainement pas à tout le monde.
Les personnages constituent le point fort du manga. En effet, il y en a beaucoup et ils sont tous très différents. Réussis ou pas, leur diversité est telle que l’on en trouvera forcément un qui nous plaira (pour ma part, j’adore Shen Gongbao, Wang Tianjun et Tianhua).
Finissons par l’adaptation qui est de qualité, car oui, Glénat signe encore un bon travail. C’est un éditeur qui fait d’énormes progrès. Pour faire vite, ils ont gardés les onomatopées, le sens de lecture et la couverture originale, la traduction est de qualité et l’encrage conséquent. Si l’on excepte (je me répète…) le changement de format (légèrement plus grand), c’est parfait.
Personnellement, même si j’aime beaucoup ce manga, je dois avouer que ce combat commence à traîner en longueur, et j’ai hâte qu’il finisse. Nous sommes à huit volumes de la fin mais nous en savons toujours si peu sur Daji et n’avons toujours pas vu Shen Gongbao se battre pour de bon… En espérant que les volumes suivants relèvent le niveau et nous sortent de ce côté très typé shônen avec un ennemi dans chaque pièce pour finalement arriver à un boss final. Néanmoins, ça se laisse lire et on passe un agréable moment.
Ce volume de Hôshin est dans la parfaite lignée des autres, on ne cesse d’en apprendre plus sur les différents protagonistes et la trame principale, un scénario riche, de nombreux rebondissements, on a droit à de très nombreux combats survoltés et à de nouveaux personnages toujours aussi surprenants. Un cocktail qui semble marcher apparemment, et tant mieux !
Par contre, on peut regretter le fait que le scénario soit laissé de côté pour laisser place à de nombreux combats, et c’est très dommage puisqu’il est extrêmement riche. L’auteur après nous avoir dépeint une telle histoire ne devrait pas s’éterniser dans ces combats qui pourront en lasser certains à force. Malgré cela, ce shônen reste relativement bon d’un point de vue scénaristique, et largement au dessus du lot par rapport à certaines productions actuelles (Rave par exemple). La mise en page est travaillée, dynamique et assez claire. Un bon travail à ce niveau là donc.
Notons des dessins d’une grande qualité, pour peu que l’on apprécie le style de Ryû Fujisaki, souvent retouchés à PhotoShop. Une grande utilisation des trames pour un style vraiment à part qui ne plaira certainement pas à tout le monde.
Les personnages constituent le point fort du manga. En effet, il y en a beaucoup et ils sont tous très différents. Réussis ou pas, leur diversité est telle que l’on en trouvera forcément un qui nous plaira (pour ma part, j’adore Shen Gongbao, Wang Tianjun et Tianhua).
Finissons par l’adaptation qui est de qualité, car oui, Glénat signe encore un bon travail. C’est un éditeur qui fait d’énormes progrès. Pour faire vite, ils ont gardés les onomatopées, le sens de lecture et la couverture originale, la traduction est de qualité et l’encrage conséquent. Si l’on excepte (je me répète…) le changement de format (légèrement plus grand), c’est parfait.
Personnellement, même si j’aime beaucoup ce manga, je dois avouer que ce combat commence à traîner en longueur, et j’ai hâte qu’il finisse. Nous sommes à huit volumes de la fin mais nous en savons toujours si peu sur Daji et n’avons toujours pas vu Shen Gongbao se battre pour de bon… En espérant que les volumes suivants relèvent le niveau et nous sortent de ce côté très typé shônen avec un ennemi dans chaque pièce pour finalement arriver à un boss final. Néanmoins, ça se laisse lire et on passe un agréable moment.
