Fiche
 
 
 
Critiques
 
 
 
Avis
 
 
 
Images
 
 
 
Personnages
 
 
 
Résumés
 
 
 
Dossiers
 
 
 
Cosplay
 

Critique Blazer Drive volume 8

Vyse Skern
Blazer Drive #8
Date de sortie : 18 août 11
Prix : 6.50 ̈́ €
Note du volume 8 :

Enfin se rencontrent Daichi et Kaine au quartier général de la Kirinkai !! Quelle inimaginable réalité se cache derrière leur relation !? Ambition malfaisante et pureté des sentiments les conduiront au-delà de l'espace et du temps.



 

Si on ne savait pas que ce huitième tome était l'avant-dernier de la série, celui-ci aurait presque pu surprendre dans le bon sens alors que là on sent la tentative de conclure la série sur une vraie fin. Une fin étonnante mais malheureusement sortie de nulle part. Il faut avouer que le récit nous réserve une sacrée révélation. Même si celle-ci reste encore obscure, on peut aisément deviner une partie ce qui se trame derrière tout ça. Toutefois, si cette révélation aurait relancé le récit, à deux pas de la fin, elle a plutôt tendance à sonner comme une trahison sacrément mal amenée bien qu'il faille avouer que même si la série avait continué, vu le nombre de sous-entendus, ce n'est pas vraiment sur que l'ensemble aurait été quand même bien accepté à cause de son incohérence.

Si cette révélation arrive vers la fin du tome, elle détruit tout l'intérêt du reste du tome voir même de la série dans son intégralité. Seishi Kishimoto donne surtout l'impression de se tirer une énorme balle dans le pied en cherchant à provoquer une conclusion inattendue. C'est sur qu'on ne voit absolument rien venir à tel point qu'on se demande si cette piste aurait été explorée si la série avait continué sur plusieurs tomes. On peut même se demander s'il ne se moque pas des lecteurs car en dehors du combat de Daichi, tous les événements se déroulant après les révélations, perdent de leur intérêt.

Quelle conclusion va bien pouvoir nous amener l'auteur ? Si la piste principale semble être donnée, on voit mal comment il va conclure sa série sans la trahir et les lecteurs avec surtout qu'on ne peut pas dire que Kishimoto ait jusqu'ici brillé dans sa mise en scène, se contentant de nous abreuver des habituels clichés du genre et souvent avec maladresse, ou de par son inventivité, qui ne fait que puiser son inspiration chez la concurrence. Un tome difficile à juger de sa véritable valeur sans sa suite mais qui laisse un arrière très désagréable et qui n'augure rien de bon.

 

erreur serie_genre:Illegal mix of collations (latin1_swedish_ci,IMPLICIT), (utf8mb4_general_ci,COERCIBLE), (utf8mb4_general_ci,COERCIBLE) for operation 'in'